Une ville considérée par beaucoup de voyageurs comme l’une des plus belles, haut la main, Istanbul intrigue autant qu’elle attire. Voici quelques unes des raisons pour lesquelles aller voyager à Istanbul.

Après Beyrouth, cap sur une autre ville incroyable du moyen-orient : Istanbul.

Byzance, Constantinople, Istanbul… Que de noms mythiques nourris aux légendes littéraires des grandes conteurs et voyageurs du monde !

Voyager à Istanbul c’est ouvrir la porte d’un monde à part. Celui étant à cheval entre l’Occident et l’Orient.

Ses beautés se comptent par dizaines, centaines, milliers.

Mais ce qui frappe le plus c’est ça mixité ! Une ville où le vivre ensemble prend un autre sens.

Voyager à Istanbul : les incontournables

La grande mosquée bleue

Appelée ainsi grâce aux céramiques bleues qui la composent, la mosquée historique d’Istanbul était un point de départ pour La Mecque. Les nombreux pèlerins y partaient pour rejoindre la ville sainte. Construite au XVIIè siècle, elle n’est pas la plus grande, ni la plus connue des mosquées de la ville, mais elle n’est pas la moins belle pour autant, loin s’en faut !


Le grand bazar

Symbole de la culture arabe et orientale, les étales de marché de ce bazar, plus grand marché couvert du monde, est un bijou authentique. Toutefois il faut s’y arrêter et prendre son temps pour ne pas se faire avoir comme un touriste. Comme toutes les places de marchés…


La Basilique Sainte-Sophie

Cette batisse, signifiant « sagesse de dieu » en grec, était à la base une église. Laquelle fut transformée en mosquée lors de prise d’Istanbul par les ottomans.

C’est cette passation culturelle qui est à la base de la notoriété et de la beauté du plus beau monument d’Istanbul.


Le palais de Topkapi

Batiment créé au XVè siècle, ce lieu était la résidence du grand sultan ottoman. Ses successeurs multiplieront les aggrandissements, faisant de cette batisse un lieu de culture incomparable aujourd’hui. Palais qui perdra peu à peu de son prestige, au profit d’autres batiments, peut-être plus modernes, par les nouveaux sultans ottomans, jusqu’au début du XXè siècle et la chute de l’empire ottoman.


Pour en savoir plus : istanbul.consulfrance.org

Ruparo, blog de Julien Manival

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